fait visitée à Raphaël

HRP : Voilà ça t'apprendre à me rendre triste *tend deux Efferalgan et un verre d'eau*


Je ne compris pas de suite en quoi je l'avais offancé, mais quand la réponse me sauta au yeux. Il fallait que je ramasse les pots cassé

Loup attends...

Elle avait prit une petite avance sur moi, je dus courir pour la rattrapper. Quand je l'eus rattrappé, je posais mes mains sur ses épaules la plaquant doucement contre le mur. Mon visage traduisait ma honte

Ce n'est pas que l'institut me passionne, j'ai jamais aimé aller en cours, j'aimerais du plus profond de moi passer des heures, des semaines, des années à caresser ton corps à m'en délécté de toutes les passions...

Je baissais la tête et mon visage devint vraiment triste

...mais tu m'as accordée le statut de professeur, ce qui insinnu que je donne connaitre c'est lieu parcontre bien que j'en ai que faire. Tous ce que je veux c'est être le plus allaise possible avec toi et rien que toi

Mes paroles s'étaient faite douce, imploratrice du pardon de sa bien aimée, et mon regard partagé entre tristesse et amour vis à vis de l'être que je tenais au bout de mes bras. Après qu'une rafale de vent glacial se soit engouffré dans le hall, je retirai mon appui de ses épaules et fit deux pas en arrière. J'étais toujurs accablé par le dégout et la vexation que j'avais du lui faire subir

Loup resta de glace en entendant les parole prononcaient par Raphaël. Son geste déplacait qu'il eu en la plaquante sur le mur lui fit sourtir ses cros comme lors d'une agression suivit d'un profond soupire.
Elle regarda Raphaël, le fixant dans les yeux avec le regard aussi sombre et cruel qu'elle désirait montré.
Ne voulant pas s'éternisait sur se sujet là elle tourna la tête ne voulant plus regardait le visage de Raphaël.
Ses cros resortis, sa haine de plus en plus noir venait s'incrusté jusque d'un le blanc de ses yeux.
Elle lui murmura:

"- Aller! elle ne va pas se faire comme ça ta visite"

A se même moment un éclaire retenti se qui provoqua quelques vibration dan sles murs de pierres

Je le sentis très bien car inexplicablement mon sens du danger s'était dévelopé, alors je compris que resté à visité le reste de l'institut comme "je le désirais tant" n'allait pas être la meilleur des choses à faire maintenant. Je savais que si je restais au prés d'elle maintenant je chercherais a revenir sur le sujet jusqu'à ce qu'elle m'est pardonnée ou au moins l'est dit sans le penser vraiment. Alors sans rien dire, je partis vers l'entrée du hall. Après une halte sur le seuil de l'institut, un éclair fit briller le ciel et tintèrent mes yeux de leurs couleurs OR. Puis quand le tonnerre s'abattit, je sortis sous la pluie battante sans dire le moindre mort, rien que la tristesse de mon attitude précédente

*Puisse t elle me pardonner un jour*

Je marchais les épaules basses , n'appréciant guere la pluie, sous le déluge vers une destination non certaine